samedi 10 septembre 2011

Vérités, mensonges et absurdités (II)

Sur des vérités, mensonges et absurdités au-dedans du monde de l'économie, je vais dire des choses que pratiquement tous nous savons, seulement que, peut-être, nous ne nous sommes pas rendus compte. Ou bien, que le grand bruit au qu'ils nous soumettent les médias en nous empêchant raisonner, il a fait que nous mettons au coin le plus éloigné de notre entendement.”


MENSONGES

LE DÉFICIT SE RÉSOUT EN DIMINUANT LES DÉPENSES”

- Cela serait vrai s'il fût possible diminuer les dépenses sans affecter aux revenus.

- Mais il résulte que le déficit est la différence entre les revenus et les dépenses.

- Si on diminuent les dépenses, en mettant à la porte des travailleurs de la Santé par exemple, les mentionnés travailleurs laissent de participer aux revenus par des impôts directs et indirects. Et l'effet multiplicateur (*) accourt à renforcer la diminution des revenus. - La conséquence est qu'il continue à avoir le même déficit ou même qu'il augmente, et l'unique chose qui s'est obtenu a été endommager la Santé Publique.

- Si on continue par la même voie, on s'arrive c'est à tomber dans une espèce de spiral diabolique: déficit = licenciements = plus déficit = plus licenciements = plus déficit....

*) Une définition de l'effet multiplicateur: “Ensemble d'accroissements qui se produisent dans la Rente Nationale d'un système économique, par suite d'un accroissement externe dans la consommation, l'investissement ou la dépense publique”.


LES ENTREPRISES CREÉNT DES POSTS DE TRAVAIL”

- Le but des entreprises est gagner de l'argent.

- Si une entreprise peut s'épargner quelques euros en substituant dix ou quinze travailleurs par une machine, elle ne les embauchera pas, et si elle les a déjà embauchés, elle les mettra à la porte. Elle déplacera la production à la Roumanie, ou à la Chine, ou plus loin encore, si elle peut trouver des travailleurs plus bon marché. Sans lui importer pour rien ce que puisse passer avec les travailleurs que elle laisse sans travail et ses familles.

- Je pourrais mettre beaucoup plus d'exemples, mais il n'est pas nécessaire; simplement, signaler que cette philosophie se trouve dans la même essence de l'entreprise capitaliste, que comment j'ai déjà dit, elle se résume dans une simple phrase: gagner de l'argent, plus on gagne, c'est mieux.

- Il y a des façons plus gentilles de contempler le papier des entreprises dans l'Économie (*), mais que, dans ce que il se rapporte aux postes de travail, ne changent pas les conséquences pour rien. Malheureusement.

*) “Les entreprises ne sont pas des institutions bénéfiques. Il n'est pas celle-là sa fonction. La fonction des entreprises consiste à approvisionner à la société de biens et services abondants, bon marchés et de qualité. Comme les facteurs de production sont limités, les entreprises doivent approvisionner à la société de biens et services abondants, bon marchés et de qualité, avec le minime coût, c'est-à-dire, avec la moindre consommation possible de facteurs de production. Dit dans d'autres termes: elles doivent être performants. Les entreprises que ne sont pas performantes, sont éliminées par le système économique”.

http://economeries.blogspot.com/2008/11/rendibilitat-de-les-pràctiques-html


LA CRÉATION DE NOUVEAUX POSTES DE TRAVAIL EXIGE LA CROISSANCE DU PIB”

- La vérité se trouve précisément dans le côté contraire: un des plus importantes origines de la croissance du PIB est la création de nouveaux postes de travail.

- Le PIB est le produit total des biens et services d'une économie. En appliquant la clause “ceteris paribus” et la logique la plus élémentaire, si plus sont ceux qui travaillent, majeure est la somme des biens et services que produisent (*).

*) Une définition de PIB (Produit Intérieur Brut): “C'est la valeur monétaire des biens et services finaux produits par une économie dans une période déterminée. Selon un des méthodes de calcul, est la somme des valeurs ajoutées des diverses étapes de production et en tous les secteurs de l'économie.”


LE PRINCIPAL PROBLÈME DE L'ECONOMIA EST LE DÉFICIT”

- Ni le déficit, ni la dette, ni aucun autre que ne soit pas le CHÔMAGE.

Català, Español

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