samedi 8 octobre 2011

I.3 Fiction du déficit: I.3.2 Les revenus

Suite du troisième point du post: "Vérités, mensonges et absurdités (I)"


Dans le troisième point du post intitulées “VÉRITÉS”, s'est dit que le déficit était une fiction, parce qu'il résultait de l'affrontement de quelques montants conventionnelles pendant une période aussi conventionnelle, c'est-à-dire, que autant les uns comme l'autre, ils étaient le résultat d'un accord ou convention. Accord ou convention que, en générale, n'a pas eu en compte les conditionnels économiques d'une part, et par autrui, que à n'importe quel moment on peut le changer, en déterminant un déficit différent, ou même en le convertissant en excédent. Ceci est ce que il se va à voir en ce post dédié au composant “revenus”.

Comme les principaux revenus de l'État sont les taxes et les impôts, ceux-ci constitueront l'objet de l'étude. Et pas tous, mais seulement ceux qui s'envisagent plus significatifs. Parce qu'il ne s'agit pas de faire une étude à fond des impôts, mais simplement une approximation au problème.

D'abord on s'étudiera d'où ils procèdent les taxes et les impôts actuellement en vigueur. Après on se vérifiera comme se perçoivent réellement ceux qui se trouvent en vigueur dans l'actualité.

La réforme fiscale qui se disait précisait l’administration des impôts pour la douer d'équité et d'efficacité, c'est fait entre 1977 et 1978, en profitant du consensus de la transition démocratique matérialisé dans les Pactes de la Moncloa. On peut dire que la politique fiscale est resté basée fondamentalement en trois impôts: sur le revenu, sur le patrimoine et le TVA. Progressifs les deux premier et proportionnel le troisième, bien que avec des différents types et des exemptions comme c'est le cas des services bancaires.

Dès lors, les mentionnés impôts ont évolué de la suivante façon: en ce qui concerne celui sur le revenus, un contribuable qui gagnait 300.000€ l'an payait 37% moins en 2008 qu'en 1993, autrui qui gagnât 50.000€ voyait réduite sa fiscalité 2,3% dans la même période. En référence au traitement fiscal des épargnes et des plus-values, ils sont passés, de faire partie de l'IRPP, et donc, de participer aux taxes et progressivité du mentionné impôt, à payer des impôts à un type fixe entre 19% et 21%, en dessous même du minimum pour l'IRPP générale (24%). En ce qui concerne à l'impôt sur le Patrimoine, il a été supprimé par la Loi 4/2008, avec vigueur depuis la 1 janvier 2008. Par le contraire, le TVA a été augmenté par la Loi 26/2009, de Budgets Généraux de l'État pour 2010, à partir du 1 juillet, en passant le type général de 16% à 18% et le type réduit de 7% à 8%. Les exemptions sont restés comme elles étaient.

En ce qui concerne l'efficacité dans la recette des impôts actuellement en vigueur, bien que, comme il est naturel, la fraude fiscale ne se connaît pas avec exactitude, on y a estimé, par des procédures indirectes comme la consommation de diesel, d'électricité, les voitures qui se vendent, etc., le volume de la fraude fiscal à hauteur du 25% du PIB.

Dès le point de vue économique, comme un type de fraude il y a qu'envisager les vols. Assurément: lorsqu'une boutique, petite ou grande, continue avec son affaire et elle ne ferme pas malgré les vols que souffre, c'est parce qu'elle réussit à les compenser et qu'elle obtient des bénéfices suffisantes pour qu'il lui vaille la peine de continuer. Dit autrement: elle réussit déplacer à ses clients au moins une part du montant des vols, comme si d'un type de TVA se traitât. D'autre part, comme le montant des mentionnés vols n'accroît pas les bénéfices, l’administration des impôts ne peut pas les taxer, et ici se voit son aspect de fraude fiscale.

Dès le même point de vue économique, certaine sorte de vols, ceux qui se produisent à la campagne, résultent véritablement nuisibles malgré son maigre montant habituel, peut-être par la faible ou nulle capacité de les déplacer qu'ont les paysans à l'égard de les marchands. D'une certaine façon, l'abandon d'une bonne part des champs que nous voyons sans cultiver, et le manque de production avec le conséquent dommage pour l'économie, trouve son explication dans le découragement desquels, non seulement doivent supporter la réduction de prix que leur imposent les intermédiaires, mais que, en plus, ils voient les cueilles réduites par ceux qui s'emportent les fruits de l'effort d'autrui. Arrivés à ce point, je considère opportun raconter une réflexion que j'ai écouté dans une conversation entre paysans: “Les vols dans la campagne on doivent les punir. Parce que si ils ne se punissent, tout le monde voudra voler et personne sèmera. Et lorsque personne sème, il n'y aura pas rien pour voler. Et le village s'appauvrira”.

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samedi 1 octobre 2011

I.3 Fiction du déficit. I.3.1 Le cycle

Suite du post: “Vérités, mensonges et absurdités (I)

La première chose que je vais dire est qu'il n'y a pas aucun inconvénient en accepter l'équilibre budgétaire, c'est-à-dire, qu'il est bon que le déficit soit zéro. De même, on peut envisager que, encore mieux que un déficit zéro est un budget avec excèdent au lieu de déficitaire. Et ceci parce que le déficit, l'équilibre et l'excèdent du budget sont des êtres qu'ils n'existent pas dans le monde réel, et sinon on concrétise plus, ils n'ont pas aucune signification économique. Ils sont des fictions, figurations, que se peuvent créer au goût de chacun. L'unique chose qu'il faut faire pour réussir a faire qu'ils soient une chose ou une autre c'est manipuler adéquatement, c'est-à-dire, comme il convienne, ses composants. Parce qu'ici, dans le traitement des éléments que composent la fiction, éléments qu'ont existence réelle, se trouve le secret.

Si il se veut faire un travail sérieux, c'est-à-dire, réussir à faire que le déficit, l'équilibre ou l'excèdent du budget aient signification (sans oublier qu'ils ne perdront jamais sa nature de fictions), on doit entrer dans ce que c'est réellement importante: la sélection et analyse des éléments que interviennent dans sa composition. Éléments constitués par tout cela que par convention s'envisagent des revenus, tout cela qu'aussi par convention se dénomment des dépenses, et la période de temps pendant laquelle convient que les dépenses s'affrontent aux revenus. Je commencerai par ce dernier, c'est-à-dire, le cycle ou période de temps de l'affrontement.

La période de temps pendant laquelle on se met d'accord sur faire affronter aux revenus les dépenses peut être n'importe qui: le jour, la semaine, le mois, l'année, etc. Or: si ce que se veut faire c'est une étude économique, il s'y a de prendre une période qui ait signification économique.

L'économie se meut par des périodes de temps dénommés cycles économiques, qu'ont l'habitude d'avoir une durée variable, entre dix et vingt ans, parfois plus, mais qu'il ne se sait pas qu'ils n'aient jamais coïncidé avec l'année naturel.

Les cycles économiques, avec ses caractéristiques phases d'expansion ou apogée et ultérieure crise ou dépression, ont toujours existé, et les humains, depuis fait milliers d'ans, ont essayé d'éviter ses effets les plus pervers, comme témoigne le Livre des livres, c'est-à-dire, la Bible, dans le suivant résumé du passage du Genèse, chapitres 41 et suivants:

Le Pharaon de l'Égypte a eut un songe: sept vaches belles à voir et grasses de chair montèrent hors du fleuve, et se mirent à paître dans la prairie; sept autres vaches laides à voir et maigres de chair montèrent derrière elles hors du fleuve; les vaches laides à voir et maigres de chair mangèrent les sept vaches belles à voir et grasses de chair. Aussi, sept épis gras et beaux montèrent sur une même tige; sept épis maigres et brûlés par le vent d'orient poussèrent après eux; les épis maigres engloutirent les sept épis gras et pleins.

Joseph, à la demande du Pharaon, interprète le songe: “Voici: il y aura sept années de grande abondance dans tout le pays d'Égypte; sept années de famine viendront après elles, et l'on oubliera toute cette abondance au pays d'Égypte, et la famine consumera le pays”.

Joseph recommande: “Maintenant, que Pharaon choisisse un homme intelligent et sage, et qu'il le mette à la tête du pays d'Égypte; que Pharaon établisse des commissaires sur le pays pour lever un cinquième des récoltes de l'Égypte pendant les sept années d'abondance; qu'ils rassemblent tous les produits de ces bonnes années qui vont venir; qu'ils fassent, sous l'autorité de Pharaon, des amas de blé, des approvisionnements dans les villes, et qu'ils en aient la garde; ces provisions seront en réserve pour le pays, pour les sept années de famine qui arriveront dans le pays d'Égypte, afin que le pays ne soit pas consumé par la famine.”

Les choses sont faits tellement bien dans l'ancien Égypte, qu'ils n'ont seulement eu repas pour les égyptiens pendant les années de la famine, mais aussi pour vendre. Et comme la faim est arrivé jusqu'au territoire de Canaan où habitait la famille de Joseph, et aussi la nouvelle de que en Égypte vendait repas, Jacob, le père, a envoyé ses fils, frères de Joseph, pour l'acheter.

http://www.info-bible.org/lsg/01.Genese.html#41


Dans les lignes antérieures se peut remarquer un ancien traitement des phases du cycle, rudimentaire, bien que traitement à la fin. Il consiste, comme était logique attendre, en garder pendant les années d'abondance pour pouvoir dépenser ou consommer pendant les années de crises.

Principaux caractéristiques des phases du cycle économique, en ressortant en majuscule et en caractère gras les aspects négatifs de chacune d'elles:


APOGÉE :

- maximale activité des affaires

- pleine occupation

- montée des prix = INFLATION


CRISE

- contraction des affaires

- réduction de l'emploi = CHÔMAGE

- Descendue ou entretien des prix


Depuis le point de vue économique, l'action logique des organismes publics doit consister à adopter une politique anticyclique, c'est-à-dire, dépenser moins ce dont ils perçoivent à l'époque d'abondance et plus à l'époque de pénurie. Parce que, s'ils ne le font pas ainsi, et en se basant sur l'équilibre budgétaire annuel ils dépensent chaque année d'accord avec ce que ils encaissent, l'unique chose qu'ils feront c'est aggraver les problèmes de INFLATION et CHÔMAGE dans les respectives phases.

En fin, par mettre un exemple, il est facile imaginer ce que il serait passé à l'ancien l'Égypte si le Pharaon, en faisant la sourde oreille aux recommandations de José, eût adopté une politique d'équilibre budgétaire annuel à l'époque des vaches grasses et maigres du résumé du Genèse de plus en dessus.

Pour conclure: équilibre budgétaire, d'accord. Mais tout au long du cycle économique, non pas année naturel par année naturel.

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samedi 24 septembre 2011

I.1 Origine des postes de travail

Suite du post: “Vérités, mensonges et absurdités (I)


Dans les activités humaines, on peut distinguer quelques-unes où la fin sont les mêmes activités, et d'autres, dont le but consiste à agir sur les choses de la Nature pour les appliquer à la satisfaction des besoins humains.

Aux premières on a l'habitude de les qualifier comme “activités de loisir”, alors que les deuxièmes se dénomment de façon générique “travail”. Il convient éclaircir que ce n'est pas le type d'activité celui qui les différence, mais l'attitude de la personne devant elles. Prenons l'exemple d'un pêcheur a la ligne: s'il pêche par le goût de lutter contre le poisson et une fois vaincu et en son pouvoir il le rend à l'eau, nous sommes dans le premier cas: il s'agit d'une authentique activité de loisir où la finalité se harasse en elle même. Si, par le contraire, il garde les poissons pour le dîner ou pour les vendre dans le marché, nous nous trouvons devant le deuxième cas: ce qu'il fait est un travail, parce que la fin de l'activité, consistant en obtenir un argent ou pour satisfaire le besoin de se nourrir, se trouve en dehors de la propre activité. Ce que n'empêche pas, d'aucune façon, que le second pêcheur s'amuse de la pêche autant ou plus que le premier.

Dans les lignes que suivent, on comprend par “travail” l'activité des personnes qui consiste à agir sur les choses de la Nature pour les appliquer à la satisfaction des besoins humains.

Comme le but du travail est satisfaire les besoin humaines et celles-ci sont pratiquement infinies(*), il est évidente que ce n'est pas du travail précisément ce que leur peut manquer aux personnes: ils resteront toujours des aspirations que ne pourront pas être satisfaites, parce que la limitée capacité de faire, c'est-à-dire, de travailler, ne permet pas les obtenir.

Les besoins humains sont infiniment variés. Si chaque sujet essaierait de les satisfaire, toutes elles, directement avec son travail, c'est-à-dire, si chaque individu essaierait de cultiver le blé, le moudre, pétrir la farine, cuire au four le pain pour manger, et il fît le même avec les chaussures, et avec le vêtement, etc., le résultat serait réellement désastreux: il obtiendrait à grand-peine à répondre quelques peu de ses besoins les plus élémentaires.

Dans le développé et complexe monde économique actuel, chacun se consacre à travailler dans une chose: le laboureur cultive le blé, le meunier le convertit en de la farine, le boulanger pétrit la farine et il cuit le pain, et le reste des citoyens, l'unique chose qui doit-il faire est aller au four et porter le pain à la maison sur le point de le manger. Et le même arrive avec le reste de choses: les chaussures, le vêtement, les livres, le divertissement, ce soit en forme de cinéma, théâtre, danse, etc. Et il se fait ainsi parce que le rendement est beaucoup plus grande, si chacun se consacre à une seule chose, que si tout le monde essaie de faire tout.

¿Comment on peut réussir, en faisant une seule chose, à répondre a des besoins que requièrent-ils des produits et des services infiniment différents? En échangeant, l'unique chose que nous faisons, par la foule de produits et services qu'ils élaborent autrui.

En utilisant une similitude, on peut dire que tout le monde apporte le résultat de son travail à une espèce de grand entrepôt, où on leur échange pour quelques bons (de l'argent), qu'on peut échanger par l'infinie variété résultant du travail du reste de composants du système économique. Et de cette façon se ferme le cercle.

Mais la complexité du système économique ne peut pas nous faire oublier la question essentielle: l'unique raison d'être de l'activité humaine qualifiée d'économique, l'origine du “travail”, c'est de répondre aux multiples besoins que nous tous les humains avons, moyennant la production et l'ultérieure consommation des biens et des services.

Dit autrement: dans les besoins humains se trouve l'origine du travail, et il est par l'intermédiaire du travail comme s'accède aux milieux que permettent satisfaire les besoins humains.


*) Maslow groupe les différents besoins que doit couvrir tout le monde en la dénommée “Pyramide de Maslow”, que on peut résumer dans les trois échelons ou niveaux suivants:

- Besoins basiques (physiologiques et de sécurité);

- Besoins d'émulation (adoption des signes qu'identifient avec les groupes à ceux que on appartient comme des êtres sociaux);

- Besoins du Moi (accès à des satisfactions individuelles, intimes et personnels).

Selon Maslow, à mesure que la personne réussit à contrôler les besoins basiques, ils vont en apparaissant les besoins de l'ordre supérieur.


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samedi 17 septembre 2011

Vérités, mensonges et absurdités (III)

Sur des vérités, mensonges et absurdités au-dedans du monde de l'économie, je vais dire des choses que pratiquement tous nous savons, seulement que, peut-être, nous ne nous sommes pas rendus compte. Ou bien, que le grand bruit au qu'ils nous soumettent les médias en nous empêchant raisonner, il a fait que nous mettons au coin le plus éloigné de notre entendement.”


ABSURDITÉS

“EN ÉTANT LE DÉFICIT UNE FICTION et LE CHÔMAGE UNE RÉALITÉ,”

Proposer des mesures qui prétendent pallier le déficit sans avoir en compte si les mentionnées mesures augmentent le chômage.


TOUS NOUS DEVONS NOUS EFFORCER POUR SORTIR DE LA CRISE

¿Quel est le type d'effort qu'on demande aux chômeurs?¿Se conformer en continuer avec les bras croisés?¿S'efforcer consiste-il à ne rien faire?


POUR CE PROBLÈME N'Y A PLUS QUE UNE SOLUTION...”

Définition d'économie: “l'économie est une science dont le but est d'étudier l'application optimale des ressources rares susceptibles d'usage alternatif”.

Tous les problèmes économiques ont au moins deux solutions opposées, et en plus, toute la gamme que va depuis l'une jusqu'à l'autre. En la diffusée et fortunée parabole de Samuelson, prix Nobel d'Économie de 1970, “un pays, que seulement peut produire des canons ou du beurre, peut se consacrer exclusivement à la production de canons, ou aussi produire seulement du beurre, ou opter par une combinaison de les deux choses”.

Ils n'appartiennent pas au monde de l'Économie les ressources que ne sont pas rares; celles que seulement ont une application et les problèmes pour lesquels il n'y a plus que une solution.


NE PAS METTRE LE CHÔMAGE DANS LE NOYAU CENTRAL DES DÉBATS ET PRÉOCCUPATIONS”

- Lorsqu'il est le problème économique réel plus grave, avec beaucoup de différence.

- Lorsqu'il est la solution de beaucoup de les autres problèmes économiques, parce que:

- plus d'occupation = plus de PIB = plus de revenus = moins déficit,

- amélioration des comptes de la Santé et des pensions,

- plus de ressources pour améliorer l'Éducation,

- etc.


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samedi 10 septembre 2011

Vérités, mensonges et absurdités (II)

Sur des vérités, mensonges et absurdités au-dedans du monde de l'économie, je vais dire des choses que pratiquement tous nous savons, seulement que, peut-être, nous ne nous sommes pas rendus compte. Ou bien, que le grand bruit au qu'ils nous soumettent les médias en nous empêchant raisonner, il a fait que nous mettons au coin le plus éloigné de notre entendement.”


MENSONGES

LE DÉFICIT SE RÉSOUT EN DIMINUANT LES DÉPENSES”

- Cela serait vrai s'il fût possible diminuer les dépenses sans affecter aux revenus.

- Mais il résulte que le déficit est la différence entre les revenus et les dépenses.

- Si on diminuent les dépenses, en mettant à la porte des travailleurs de la Santé par exemple, les mentionnés travailleurs laissent de participer aux revenus par des impôts directs et indirects. Et l'effet multiplicateur (*) accourt à renforcer la diminution des revenus. - La conséquence est qu'il continue à avoir le même déficit ou même qu'il augmente, et l'unique chose qui s'est obtenu a été endommager la Santé Publique.

- Si on continue par la même voie, on s'arrive c'est à tomber dans une espèce de spiral diabolique: déficit = licenciements = plus déficit = plus licenciements = plus déficit....

*) Une définition de l'effet multiplicateur: “Ensemble d'accroissements qui se produisent dans la Rente Nationale d'un système économique, par suite d'un accroissement externe dans la consommation, l'investissement ou la dépense publique”.


LES ENTREPRISES CREÉNT DES POSTS DE TRAVAIL”

- Le but des entreprises est gagner de l'argent.

- Si une entreprise peut s'épargner quelques euros en substituant dix ou quinze travailleurs par une machine, elle ne les embauchera pas, et si elle les a déjà embauchés, elle les mettra à la porte. Elle déplacera la production à la Roumanie, ou à la Chine, ou plus loin encore, si elle peut trouver des travailleurs plus bon marché. Sans lui importer pour rien ce que puisse passer avec les travailleurs que elle laisse sans travail et ses familles.

- Je pourrais mettre beaucoup plus d'exemples, mais il n'est pas nécessaire; simplement, signaler que cette philosophie se trouve dans la même essence de l'entreprise capitaliste, que comment j'ai déjà dit, elle se résume dans une simple phrase: gagner de l'argent, plus on gagne, c'est mieux.

- Il y a des façons plus gentilles de contempler le papier des entreprises dans l'Économie (*), mais que, dans ce que il se rapporte aux postes de travail, ne changent pas les conséquences pour rien. Malheureusement.

*) “Les entreprises ne sont pas des institutions bénéfiques. Il n'est pas celle-là sa fonction. La fonction des entreprises consiste à approvisionner à la société de biens et services abondants, bon marchés et de qualité. Comme les facteurs de production sont limités, les entreprises doivent approvisionner à la société de biens et services abondants, bon marchés et de qualité, avec le minime coût, c'est-à-dire, avec la moindre consommation possible de facteurs de production. Dit dans d'autres termes: elles doivent être performants. Les entreprises que ne sont pas performantes, sont éliminées par le système économique”.

http://economeries.blogspot.com/2008/11/rendibilitat-de-les-pràctiques-html


LA CRÉATION DE NOUVEAUX POSTES DE TRAVAIL EXIGE LA CROISSANCE DU PIB”

- La vérité se trouve précisément dans le côté contraire: un des plus importantes origines de la croissance du PIB est la création de nouveaux postes de travail.

- Le PIB est le produit total des biens et services d'une économie. En appliquant la clause “ceteris paribus” et la logique la plus élémentaire, si plus sont ceux qui travaillent, majeure est la somme des biens et services que produisent (*).

*) Une définition de PIB (Produit Intérieur Brut): “C'est la valeur monétaire des biens et services finaux produits par une économie dans une période déterminée. Selon un des méthodes de calcul, est la somme des valeurs ajoutées des diverses étapes de production et en tous les secteurs de l'économie.”


LE PRINCIPAL PROBLÈME DE L'ECONOMIA EST LE DÉFICIT”

- Ni le déficit, ni la dette, ni aucun autre que ne soit pas le CHÔMAGE.

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samedi 3 septembre 2011

Vérités, mensonges et absurdités (I)

Sur des vérités, mensonges et absurdités au-dedans du monde de l'économie, je vais dire des choses que pratiquement tous nous savons, seulement que, peut-être, nous ne nous sommes pas rendus compte. Ou bien, que le grand bruit au qu'ils nous soumettent les médias, en nous empêchant raisonner, il a fait que nous mettons au coin le plus éloigné de notre entendement.


VÉRITÉS

AU-DEDANS DU MONDE DE L'ÉCONOMIE, IL Y A UN LIEU DE TRAVAIL POUR TOUTE PERSONNE QUI VEUT TRAVAILLER

Parce que ce sont les besoins des personnes l'origine du travail (*).

Lorsque nous travaillons, ce qui nous faisons c'est satisfaire les besoins des personnes que se bénéficient du produit de notre travail.

Avec notre travail nous obtenons les milieux avec ceux qui, à notre tour, nous aussi nous pouvons satisfaire nos besoins en nous bénéficiant du produit du travail du reste des personnes.

Et de cette façon se ferme le cercle.

*) Une définition d'activité économique: “Activité humaine qui consiste à œuvrer sur les choses de la Nature pour les appliquer à la satisfaction des besoins humains”.


AU-DEDANS DU MONDE DE L'ÉCONOMIE, LE CHÔMAGE EST UNE FIGURE ABSURDE, ET PLUS ENCORE, INDÉSIRABLE”

Absurde:

- Parce qu'il consiste à refuser de la personne l'accès aux milieux que lui permettent satisfaire ses besoins.

- Parce qu'il consiste à refuser de la société les produits et services que le chômeur peut lui apporter.

- Parce que l'apport de richesse que le chômeur voudrait faire et il ne fait pas, il représente une perte absolue et irrécupérable pour toute la société.

Indésirable:

- Parce que, comme personne ne peut pas survivre sans s'ocupper de ses besoins les plus élémentaires, le chômeur survit à côte d'autres qui travaillent: familiers, amis, services publics, charité; même en faisant appel au vol s'il n'a pas d'autre remède.


LE DÉFICIT EST UNE FICTION, PAS UNE RÉALITÉ”

- Parce qu'il résulte de l'affrontement de quelques magnitudes qualifiées de revenus et dépenses de façon conventionnel (*), pendant un terme de temps aussi conventionnel(**).

Il est évident que, en modifiant n'importe quelle des conventions adoptées change le déficit, arrivant même à se convertir en excédent.

*) Véritable perle sur l'utilisation conventionnelle de la qualification des magnitudes que conforment le déficit que j'ai trouvé:

C'est pourquoi ils appellent “dépense” à l'argent investi en des garderies, ou en santé, ou en des pensions, mais qualifient comme investissement à n'importe quel budget employé en des infrastructures, bien que soient tellement inutiles comme ces trains AVE que jusqu'à fait rien circulaient entre Tolède et Albacete.
Ignacio Escolar, article publié au quotidien “Public” le 15 juillet de 2011, sous le titre “El uso perverso de las palabras”.

http://www.escolar.net/MT/archives/2011/07/el-uso-perverso-de-las-palabras.html

**) Les termes “revenus”, “dépenses”, “conventionnel” et ses dérivés, s'utilisent en sens comptable strictement.

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samedi 27 août 2011

Reprise des annotations

Mouvement 15-M

¡Déjà était-il heure!

Chèrs lecteurs et lectrices,

J'ai décidé reprendre la publication de mon Blog. Entre autres motifs, un fondamental: comme un apport plus, le mien, au Mouvement 15M, avec ce qui je partage une bonne part des exposés.

Bien que parfois il ne le semble pas, le Blog continuera à traiter le même type de thèmes et de la même manière. C'est-à-dire, les différents thèmes auront contenu et ils seront contemplés en ses facettes économique et comptable exclusivement. Avec une approche que, peut-être, pourra sembler un peu hétérodoxe, cela oui. Bien que partagé par beaucoup d'autres économistes, quelques-uns d'entre eux des prix Nobel même.

J'essayerai éviter les aspects politiques, sociaux et d'autrui, ne parce que pour moi ils ne soit pas importants (très importants il faudrait dire), mais parce que ce type de questions, outre n'appartenir pas à ma spécialité, il y a déjà d'autres qui les traitent abondamment, et sans doute, beaucoup mieux de ce qu'il pourrait le faire moi même. Et aussi, parce qu'il suffit déjà d'envisager l'Économie comme la mauvaise du film; il est déjà temps de la prendre comme prétexte pour justifier tous les torts qu'on veux rejeter sur ceux qui plus souffrent et moins on peux accuser que c'est de sa foute la situation actuelle.

Aussi, j'essayerai d'enlever au moins une publication hebdomadaire, que, comme avant, sortira les samedis à première heure.

Une nouveauté est que les communications ne seront pas exclusivement en catalan comme en l'étape antérieure.

Je procurerai condenser les idées exposées en chacun des posts pour qu'ils ne s'allongent pas trop, avec l'objet de ne me fatiguer pas (je suis déjà assez agé et je me fatigue bientôt), et ne vous fatiguer pas no plus. Si vous envisagez que quelques unes d'entre elles on besoin d'une explication plus étendue, dites-le. Et si vous ne partagez pas des points exposés, ne laissiez-vous pas de le manifester.

Les premiers posts constitueront une espèce d'index d'autres que viendront après et aussi ils serviront d'explication des différentes questions indiquées. Ils auront comme titre:

VÉRITÉS, MENSONGES et ABSURDITÉS

(dans le monde de l'Économie, évidemment)


Jusqu'au samedi prochain.

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