samedi 3 septembre 2011

Vérités, mensonges et absurdités (I)

Sur des vérités, mensonges et absurdités au-dedans du monde de l'économie, je vais dire des choses que pratiquement tous nous savons, seulement que, peut-être, nous ne nous sommes pas rendus compte. Ou bien, que le grand bruit au qu'ils nous soumettent les médias, en nous empêchant raisonner, il a fait que nous mettons au coin le plus éloigné de notre entendement.


VÉRITÉS

AU-DEDANS DU MONDE DE L'ÉCONOMIE, IL Y A UN LIEU DE TRAVAIL POUR TOUTE PERSONNE QUI VEUT TRAVAILLER

Parce que ce sont les besoins des personnes l'origine du travail (*).

Lorsque nous travaillons, ce qui nous faisons c'est satisfaire les besoins des personnes que se bénéficient du produit de notre travail.

Avec notre travail nous obtenons les milieux avec ceux qui, à notre tour, nous aussi nous pouvons satisfaire nos besoins en nous bénéficiant du produit du travail du reste des personnes.

Et de cette façon se ferme le cercle.

*) Une définition d'activité économique: “Activité humaine qui consiste à œuvrer sur les choses de la Nature pour les appliquer à la satisfaction des besoins humains”.


AU-DEDANS DU MONDE DE L'ÉCONOMIE, LE CHÔMAGE EST UNE FIGURE ABSURDE, ET PLUS ENCORE, INDÉSIRABLE”

Absurde:

- Parce qu'il consiste à refuser de la personne l'accès aux milieux que lui permettent satisfaire ses besoins.

- Parce qu'il consiste à refuser de la société les produits et services que le chômeur peut lui apporter.

- Parce que l'apport de richesse que le chômeur voudrait faire et il ne fait pas, il représente une perte absolue et irrécupérable pour toute la société.

Indésirable:

- Parce que, comme personne ne peut pas survivre sans s'ocupper de ses besoins les plus élémentaires, le chômeur survit à côte d'autres qui travaillent: familiers, amis, services publics, charité; même en faisant appel au vol s'il n'a pas d'autre remède.


LE DÉFICIT EST UNE FICTION, PAS UNE RÉALITÉ”

- Parce qu'il résulte de l'affrontement de quelques magnitudes qualifiées de revenus et dépenses de façon conventionnel (*), pendant un terme de temps aussi conventionnel(**).

Il est évident que, en modifiant n'importe quelle des conventions adoptées change le déficit, arrivant même à se convertir en excédent.

*) Véritable perle sur l'utilisation conventionnelle de la qualification des magnitudes que conforment le déficit que j'ai trouvé:

C'est pourquoi ils appellent “dépense” à l'argent investi en des garderies, ou en santé, ou en des pensions, mais qualifient comme investissement à n'importe quel budget employé en des infrastructures, bien que soient tellement inutiles comme ces trains AVE que jusqu'à fait rien circulaient entre Tolède et Albacete.
Ignacio Escolar, article publié au quotidien “Public” le 15 juillet de 2011, sous le titre “El uso perverso de las palabras”.

http://www.escolar.net/MT/archives/2011/07/el-uso-perverso-de-las-palabras.html

**) Les termes “revenus”, “dépenses”, “conventionnel” et ses dérivés, s'utilisent en sens comptable strictement.

Català, Español


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