samedi 8 octobre 2011

I.3 Fiction du déficit: I.3.2 Les revenus

Suite du troisième point du post: "Vérités, mensonges et absurdités (I)"


Dans le troisième point du post intitulées “VÉRITÉS”, s'est dit que le déficit était une fiction, parce qu'il résultait de l'affrontement de quelques montants conventionnelles pendant une période aussi conventionnelle, c'est-à-dire, que autant les uns comme l'autre, ils étaient le résultat d'un accord ou convention. Accord ou convention que, en générale, n'a pas eu en compte les conditionnels économiques d'une part, et par autrui, que à n'importe quel moment on peut le changer, en déterminant un déficit différent, ou même en le convertissant en excédent. Ceci est ce que il se va à voir en ce post dédié au composant “revenus”.

Comme les principaux revenus de l'État sont les taxes et les impôts, ceux-ci constitueront l'objet de l'étude. Et pas tous, mais seulement ceux qui s'envisagent plus significatifs. Parce qu'il ne s'agit pas de faire une étude à fond des impôts, mais simplement une approximation au problème.

D'abord on s'étudiera d'où ils procèdent les taxes et les impôts actuellement en vigueur. Après on se vérifiera comme se perçoivent réellement ceux qui se trouvent en vigueur dans l'actualité.

La réforme fiscale qui se disait précisait l’administration des impôts pour la douer d'équité et d'efficacité, c'est fait entre 1977 et 1978, en profitant du consensus de la transition démocratique matérialisé dans les Pactes de la Moncloa. On peut dire que la politique fiscale est resté basée fondamentalement en trois impôts: sur le revenu, sur le patrimoine et le TVA. Progressifs les deux premier et proportionnel le troisième, bien que avec des différents types et des exemptions comme c'est le cas des services bancaires.

Dès lors, les mentionnés impôts ont évolué de la suivante façon: en ce qui concerne celui sur le revenus, un contribuable qui gagnait 300.000€ l'an payait 37% moins en 2008 qu'en 1993, autrui qui gagnât 50.000€ voyait réduite sa fiscalité 2,3% dans la même période. En référence au traitement fiscal des épargnes et des plus-values, ils sont passés, de faire partie de l'IRPP, et donc, de participer aux taxes et progressivité du mentionné impôt, à payer des impôts à un type fixe entre 19% et 21%, en dessous même du minimum pour l'IRPP générale (24%). En ce qui concerne à l'impôt sur le Patrimoine, il a été supprimé par la Loi 4/2008, avec vigueur depuis la 1 janvier 2008. Par le contraire, le TVA a été augmenté par la Loi 26/2009, de Budgets Généraux de l'État pour 2010, à partir du 1 juillet, en passant le type général de 16% à 18% et le type réduit de 7% à 8%. Les exemptions sont restés comme elles étaient.

En ce qui concerne l'efficacité dans la recette des impôts actuellement en vigueur, bien que, comme il est naturel, la fraude fiscale ne se connaît pas avec exactitude, on y a estimé, par des procédures indirectes comme la consommation de diesel, d'électricité, les voitures qui se vendent, etc., le volume de la fraude fiscal à hauteur du 25% du PIB.

Dès le point de vue économique, comme un type de fraude il y a qu'envisager les vols. Assurément: lorsqu'une boutique, petite ou grande, continue avec son affaire et elle ne ferme pas malgré les vols que souffre, c'est parce qu'elle réussit à les compenser et qu'elle obtient des bénéfices suffisantes pour qu'il lui vaille la peine de continuer. Dit autrement: elle réussit déplacer à ses clients au moins une part du montant des vols, comme si d'un type de TVA se traitât. D'autre part, comme le montant des mentionnés vols n'accroît pas les bénéfices, l’administration des impôts ne peut pas les taxer, et ici se voit son aspect de fraude fiscale.

Dès le même point de vue économique, certaine sorte de vols, ceux qui se produisent à la campagne, résultent véritablement nuisibles malgré son maigre montant habituel, peut-être par la faible ou nulle capacité de les déplacer qu'ont les paysans à l'égard de les marchands. D'une certaine façon, l'abandon d'une bonne part des champs que nous voyons sans cultiver, et le manque de production avec le conséquent dommage pour l'économie, trouve son explication dans le découragement desquels, non seulement doivent supporter la réduction de prix que leur imposent les intermédiaires, mais que, en plus, ils voient les cueilles réduites par ceux qui s'emportent les fruits de l'effort d'autrui. Arrivés à ce point, je considère opportun raconter une réflexion que j'ai écouté dans une conversation entre paysans: “Les vols dans la campagne on doivent les punir. Parce que si ils ne se punissent, tout le monde voudra voler et personne sèmera. Et lorsque personne sème, il n'y aura pas rien pour voler. Et le village s'appauvrira”.

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samedi 1 octobre 2011

I.3 Fiction du déficit. I.3.1 Le cycle

Suite du post: “Vérités, mensonges et absurdités (I)

La première chose que je vais dire est qu'il n'y a pas aucun inconvénient en accepter l'équilibre budgétaire, c'est-à-dire, qu'il est bon que le déficit soit zéro. De même, on peut envisager que, encore mieux que un déficit zéro est un budget avec excèdent au lieu de déficitaire. Et ceci parce que le déficit, l'équilibre et l'excèdent du budget sont des êtres qu'ils n'existent pas dans le monde réel, et sinon on concrétise plus, ils n'ont pas aucune signification économique. Ils sont des fictions, figurations, que se peuvent créer au goût de chacun. L'unique chose qu'il faut faire pour réussir a faire qu'ils soient une chose ou une autre c'est manipuler adéquatement, c'est-à-dire, comme il convienne, ses composants. Parce qu'ici, dans le traitement des éléments que composent la fiction, éléments qu'ont existence réelle, se trouve le secret.

Si il se veut faire un travail sérieux, c'est-à-dire, réussir à faire que le déficit, l'équilibre ou l'excèdent du budget aient signification (sans oublier qu'ils ne perdront jamais sa nature de fictions), on doit entrer dans ce que c'est réellement importante: la sélection et analyse des éléments que interviennent dans sa composition. Éléments constitués par tout cela que par convention s'envisagent des revenus, tout cela qu'aussi par convention se dénomment des dépenses, et la période de temps pendant laquelle convient que les dépenses s'affrontent aux revenus. Je commencerai par ce dernier, c'est-à-dire, le cycle ou période de temps de l'affrontement.

La période de temps pendant laquelle on se met d'accord sur faire affronter aux revenus les dépenses peut être n'importe qui: le jour, la semaine, le mois, l'année, etc. Or: si ce que se veut faire c'est une étude économique, il s'y a de prendre une période qui ait signification économique.

L'économie se meut par des périodes de temps dénommés cycles économiques, qu'ont l'habitude d'avoir une durée variable, entre dix et vingt ans, parfois plus, mais qu'il ne se sait pas qu'ils n'aient jamais coïncidé avec l'année naturel.

Les cycles économiques, avec ses caractéristiques phases d'expansion ou apogée et ultérieure crise ou dépression, ont toujours existé, et les humains, depuis fait milliers d'ans, ont essayé d'éviter ses effets les plus pervers, comme témoigne le Livre des livres, c'est-à-dire, la Bible, dans le suivant résumé du passage du Genèse, chapitres 41 et suivants:

Le Pharaon de l'Égypte a eut un songe: sept vaches belles à voir et grasses de chair montèrent hors du fleuve, et se mirent à paître dans la prairie; sept autres vaches laides à voir et maigres de chair montèrent derrière elles hors du fleuve; les vaches laides à voir et maigres de chair mangèrent les sept vaches belles à voir et grasses de chair. Aussi, sept épis gras et beaux montèrent sur une même tige; sept épis maigres et brûlés par le vent d'orient poussèrent après eux; les épis maigres engloutirent les sept épis gras et pleins.

Joseph, à la demande du Pharaon, interprète le songe: “Voici: il y aura sept années de grande abondance dans tout le pays d'Égypte; sept années de famine viendront après elles, et l'on oubliera toute cette abondance au pays d'Égypte, et la famine consumera le pays”.

Joseph recommande: “Maintenant, que Pharaon choisisse un homme intelligent et sage, et qu'il le mette à la tête du pays d'Égypte; que Pharaon établisse des commissaires sur le pays pour lever un cinquième des récoltes de l'Égypte pendant les sept années d'abondance; qu'ils rassemblent tous les produits de ces bonnes années qui vont venir; qu'ils fassent, sous l'autorité de Pharaon, des amas de blé, des approvisionnements dans les villes, et qu'ils en aient la garde; ces provisions seront en réserve pour le pays, pour les sept années de famine qui arriveront dans le pays d'Égypte, afin que le pays ne soit pas consumé par la famine.”

Les choses sont faits tellement bien dans l'ancien Égypte, qu'ils n'ont seulement eu repas pour les égyptiens pendant les années de la famine, mais aussi pour vendre. Et comme la faim est arrivé jusqu'au territoire de Canaan où habitait la famille de Joseph, et aussi la nouvelle de que en Égypte vendait repas, Jacob, le père, a envoyé ses fils, frères de Joseph, pour l'acheter.

http://www.info-bible.org/lsg/01.Genese.html#41


Dans les lignes antérieures se peut remarquer un ancien traitement des phases du cycle, rudimentaire, bien que traitement à la fin. Il consiste, comme était logique attendre, en garder pendant les années d'abondance pour pouvoir dépenser ou consommer pendant les années de crises.

Principaux caractéristiques des phases du cycle économique, en ressortant en majuscule et en caractère gras les aspects négatifs de chacune d'elles:


APOGÉE :

- maximale activité des affaires

- pleine occupation

- montée des prix = INFLATION


CRISE

- contraction des affaires

- réduction de l'emploi = CHÔMAGE

- Descendue ou entretien des prix


Depuis le point de vue économique, l'action logique des organismes publics doit consister à adopter une politique anticyclique, c'est-à-dire, dépenser moins ce dont ils perçoivent à l'époque d'abondance et plus à l'époque de pénurie. Parce que, s'ils ne le font pas ainsi, et en se basant sur l'équilibre budgétaire annuel ils dépensent chaque année d'accord avec ce que ils encaissent, l'unique chose qu'ils feront c'est aggraver les problèmes de INFLATION et CHÔMAGE dans les respectives phases.

En fin, par mettre un exemple, il est facile imaginer ce que il serait passé à l'ancien l'Égypte si le Pharaon, en faisant la sourde oreille aux recommandations de José, eût adopté une politique d'équilibre budgétaire annuel à l'époque des vaches grasses et maigres du résumé du Genèse de plus en dessus.

Pour conclure: équilibre budgétaire, d'accord. Mais tout au long du cycle économique, non pas année naturel par année naturel.

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